Le chien qui a perdu ses lunettes et autres éclats d'oubli

Le dernier spectacle, "Le chien qui a perdu ses lunettes et autres éclats d'oubli", présenté par Un temps de chien Corporation, aura lieu au Vauban les 26 et 27 octobre 2009.

C'est un spectacle musical de et par Vincent Vedovelli, Christofer Bjurström et Agnès Vesterman.

« Sans mon chien, je n’entends rien à la vérité.

Jamais certain de savoir si je suis sûr d’être sourd

ou sourd d’être sûr… »

Vincent Vedovelli sait jouer des mots jusqu’à en retourner le sens avec humour et nous faire entrer dans un univers où règnent folie et poésie.

Le violoncelle d’Agnès Vesterman et le piano de Christofer Bjurström se prêtent aux surprises, aux jeux, aux interrogations profondes de ces mots. Par le pouvoir de la musique, ils éveillent des visions, des ambiances, des espaces anciens et nouveaux dans notre imaginaire…

L’histoire d’une rencontre

Vincent Vedovelli, artiste iconoclaste aux multiples facettes, a décidé, après des années de pérégrinations à travers le monde, de poser ses valises à Lampaul Plouarzel. C'est donc tout naturellement à Brest qu'il a créé son nouveau spectacle, au Vauban.  

Auteur et interprète de ses textes non-chantés, il a confié la composition et l’interprétation musicale à Agnès Vesterman et à Christofer Bjurström.Si l’on retrouve l’univers si particulier de chacun, l’émulation entre ces 3 artistes venant d’horizons différents, fonctionne à merveille. A l’arrivée cela nous donne un spectacle singulier d’une grande beauté.

S’il avait déjà collaboré avec cette virtuose du violoncelle dans des spectacles tels que « Dingdongueries », « Haute tension », « Wang Fo » et prochainement « Bachscage » , c’est pour la première fois qu’il se trouve associé au prolixe pianiste-compositeur suédois. De la rencontre de ces trois fortes personnalités résulte un spectacle étonnant, abolissant les frontières artistiques.

A découvrir !

Spectacle musical

Comment conjuguer l’oubli jusqu’à l’ivresse…

Comment cultiver la mémoire de l’oubli…

Comment sous les affres de l’oubli se cache parfois

un autre monde sensible, invisible, essentiel…